Michel a passé son enfance à St Victor Montvianeix à proximité de Thiers. A 650 m d’altitude il y avait de la neige en hiver, mais pas beaucoup de chauffage ni le confort qui semble indispensable aujourd’hui. Avec ses deux frères ils faisaient quelques bêtises, se chamaillaient gentiment... ou pas ; mais surtout ils gardaient les vaches et travaillaient aux champs dès leur plus jeune âge. Les adultes, n’étaient pas toujours sérieux car la piquette locale achetée un peu plus bas, dans la pleine des rives de l’Allier, tournait quelques têtes. L’école de Courpière, l’apprentissage, l’armée et la vie active, lui ont permis de découvrir le Monde et... Pepette !

Haniel est un homme simple qui vit dans un monde étrange où l’on ne ressent aucune émotion. Une nuit, il découvre en même temps, l’amour et la peur, deux sentiments contraires qu’avec l’aide de Cassiopée, petite princesse lunaire, il va tenter d’apprivoiser.

Deux photographies. Deux photographies presque perdues, presque oubliées. Presque. Et sinon, presque rien. Encore un presque. Un jour, elle décide de partir enquêter ce presque rien. Ce presque rien qui est un tout, celui d’avant elle. Elle cherche quelqu’un. Elle cherche sa mémoire. Elle rencontre des écrits. Elle rencontre ceux qui l’on connu. Et là. Les photographies presque perdues prennent vie. Et là. L’histoire débute.

Frère et sœur on partage une enfance, des parents, parfois les chemins divergent, on s’éloigne à dessein ou fortuitement, ou bien l’on change. On découvre quelqu’un d’autre, un autre visage, un rapport différent, à moins que le frère plus complexe qu’il n’y paraissait, se révèle tout autre. Cette personnalité était-elle en devenir depuis l’enfance et si le frère était à deux faces, et si révélé dans un contexte particulier, il relevait d’une étiquette particulière, bipolaire. Explication rassurante pour un comportement peu souhaitable ou inquiétant, on ne se réduit pas à une étiquette.
Relire l’enfance, envisager des signes avant-coureurs, renouer un dialogue perdu, rompu, à jamais, se servir de ce qui s’écrivit, de ce qui existe, d’une parole qui ne fut pas reconnue.